Hunger games Fan Fiction

Hunger Games
Fan Fiction

                                                                                                                                                 Chapitre 1 :
La moisson    


PDV Maria
District 12:

    J' ouvre les yeux lentement. J' ai à peine dormi cette nuit ; Aujourd’hui est un grand jour. Je m' étire longuement et ma couverture glisse au sol. Je me lève et la ramasse agilement. J' entends ma mère dans la cuisine qui prépare le repas, et mon père doit sûrement être sortit, il ne reste jamais aux moissons. Parce que oui, c' est la moisson...
Regardant ma garde robe, j' opte pour une robe mi longue bleu ciel qui va bien avec mes yeux et mes cheveux blonds. Je laisse ceux ci détachés et me regarde une dernière fois dans le miroir, ce sera peut être la dernière. Chez moi en tout cas... L' image qui se reflète devant moi est celle d' une jeune fille, les sourcils froncés, le dos droit et le sourire poli. Une assassine parfaite, tel que mes parents m' ont éduqués. Mon père est directeur de la mine à charbon dans laquelle travaillent beaucoup de gens, nous avons donc une grande maison, mes parents sont les plus riches du district.
Mon père m'a élevée comme une carrière mais il ne vient jamais aux moissons, même si il sait que j' ai des chances minimes de me faire piochée pour les hunger games, il ne peux s' empêcher d' avoir peur...
Je prends une tranche de pain, étalant du beurre et mâchant mécaniquement. Mère s' assied n face de moi et me regarde distraitement,  ses sourcils se froncent.

-Maria, ta robe est toute froissée, et ou est ton bandeau blanc?!
-Il est dans mon sac mère, je le mettrai après.
-Bien mais il faudra repasser ta robe.
Ma mère n' est jamais satisfaite de moi, je ne suis jamais assez parfaite pour elle...

Quand nous arrivons sur la place centrale, du monde est déjà la, ma mère me tapote l' épaule pour me dire :
-N' oublie pas, la tête haute, le dos droit et les épaules redressées. Si tu est choisis ils doivent tous savoirs que tu est la meilleure.
-Oui mère, ne vous en faites pas.
Bientôt je suis dans a session des quinze ans, tous les regards sont tournés vers moi, je dois attirer l' attention, moi, une fille de riche, mais tout ces gens me détestent parce qu' ils sont pauvres et qu' ils n' ont pas à manger tout les jours eux, ils ont contre moi une haine indescriptible, mais on ne choisis pas ses parents...

    Notre hôtesse fais son entrée, elle est un peu moins ridicule que les  années précédentes mais elle reste excentrique. Après nous avoir passé un documentaire sur la rébellion du district treize, le maire s' avance pour nous annoncer qu' il est grand temps de piocher deux personnes pour qu' ils participent aux jeux.. Lucia (notre hôtesse) ponctue le discours du maire d' un  annuel : « Et que le sort vous soit favorable! ». Après avoir pioché un papier dans l' urne des fille, je l' entends dire : « Maria Swan », je mets quelques secondes avant de réagir que c’ est moi qu’ elle à appelée, Lucia répète mon prénom et mon nom, je me dirige enfin vers l' estrade, j' essai de ne pas me laisser submerger par la peur, je vais mourir, j' ai seulement 15 ans. Je monte sur l’ estrade, Lucia, notre hôtesse me demande mon nom, elle a déjà oubliée comment je m' appelle. Je lui jette un regard chargé de mépris, lui prends le micro des mains et dis: «Je m' appelle Maria, j' ai quinze ans...» Sans un regard pour elle je me retourne vers la foule, la tête haute, les épaules droites, un grand sourire aux lèvres, je regarde alors l' écran, tout va bien, je semble en contrôle, je semble même heureuse d' être la... Lucia demande ensuite de m' applaudir, personne ne le fait, comme chaque années... Je croise alors le regard de ma mère, elle fronce les sourcils, je ne suis pas assez parfaite, comme d' habitude. Je viens d' être sélectionnée pour les Hunger Games mais se n' est pas assez, ce n' est jamais assez.
Lucia appelle dons les garçons,  celui qui est tiré s' appelle Joris, je le connais de vue, il est fort, peut être plus que moi. Quand il monte sur scène, il a l' air démoralisé, je l' encourage alors à sourire, pourquoi ai- je fais sa?


PDV Joris:
District 12
   

     Lucia arrive enfin sur la scène, elle est extravagante, comme d' habitude... Son tailleur rose fushia est absolument hideux, quand j' en fais pars à mon meilleur ami, il me réponds: «au moins, si tu pars au jeux, tu la perdra pas de vue, vois les choses objectivement...». Personne ne ris à cette blague complètement vaseuse, même pas moi, le jour est mal choisis pour rire de toute façon. Tout à coup, l' hymne du Capitole retentit, nous nous taisons aussitôt, après le discours du maire, Lucia appelle les filles, c'est Maria qui est appelée, je la connais, je n' irais pas jusque à dire que c' est ma «meilleure amie» mais nous sommes au collège ensemble. Lucia doit répéter deux fois son prénom, enfin Maria arrive, elle se donne un air sur , elle a un faux sourire collé sur le visage, je la connais tout de même assez pour savoir qu' elle est térifiée, comme tout le monde au district 12 lors de la moisson, mais elle a raison, il faut attirer les sponsors.
Perdu dans mes pensées, je n' entends qu' à moitié Lucia qui m' appelle.
Mon regard se tourne vers l' hôtesse avec surprise, c' est mon nom qu' elle viens de dire la Je vois le bout de papier entre ses mains et je comprends tout de suite...
Je m' avance avec stupeur  et monte sur l' estrade. Mes oreilles bourdonnent, je prends place a coté de l' hôtesse et croise le regard de Maria, elle m' encourage à sourire.
J' aimerai me foutre du regard des autres, pouvoir m' effondrer, mais à la place, pendant que notre ridicule hôtesse demande si il y a des volontaires, je souris.
Je souris, tout va bien, tout est sous contrôle, je n' ai aucun problème,  je peux m' en occuper, je peux survivre... Il me suffi de tuer 23 autres enfants innocents. C' est tout.
 



Les adieux        

-N' oublie pas se que je t' ai appris Maria.
-Oui père.
-Et n' oublie pas, tu dois faire bonne impression aux sponsors.
-Oui mère.
-Tiens prends cette bague, elle s' accorde bien avec tes yeux.
-D' accord mère.

Elle me tends une bague en aigue marine et la mets dans la paume de ma main. Mon père me caresse la joue et sort, suivie de ma mère, qui arrivée à la porte me lance :
Ne nous fais pas honte pour une fois!
Voila les seuls mots échangés avec mes parents. Les seuls mots échangés avant ma mort. Les seuls mots échangés avec leur fille qu' ils élèvent depuis quinze ans. Alors qu' il referment la porte derrière eux, j' éclate en sanglot silencieux. Je ne peux laisser à personne voir que je suis faible, mais quand je suis seule ainsi, rien ne me retiens.
Depuis que j' ai été choisis pour les jeux, j' ai l' impression d' être une toute autre personne. Je ne suis plus la confiante Maria qui obtiens toujours ce qu' elle veut. Je suis une ombre de cette personne, si faible et si misérable que l' ancienne Maria en rirait à gorge déployée, la piétinerait sans pitié.

      PDV Joris :

    Nous sommes escortés vers le bâtiment ou nous dirons au revoir à nos proches. Pour moi il n' y a que Alex, mon père adoptif. Bientôt il entre, un faux sourire aux lèvres.

-Tu avais belle allure mon gars.
Je voudrai lui donner un sourire moi aussi. Lui dire à quel point je suis reconnaissant pour ce qu' il ma apporter, car c' est un ancien vainqueur, il m' a entraîné lui même au cas ou je serai pioché pour les jeux. Sans lui je serai encore un petit délinquant minable qui brandit le poing à la moindre insulte ou au moindre regard désobligeant. Je serai encore ce jeune imbécile, je serai même probablement mort, vaincu par une bande de voyou qui en avaient marre de se faire battre par moi, moi le petit orphelin que sa mère a abandonné dans une des ruelles miteuse du district. J' aimerai lui dire tout ça, toute ma reconnaissance, mais je reste complètement immobile, silencieux, j' espère que mes yeux transmettrons tout ce que je ressent en ce moment.
-C 'est moi qui t' ai entraîné Jo, rends moi fier, rends ton district fier.
Il me prend alors dans ses brans et je laisse échapper un vague grognement de mécontentement.
-Tu meurt pas ok ? Tu est ce que j' ai de plus proche d' un fils, me murmure t-il à l' oreille.
J' ai l' impression que les larmes vont me monter aux yeux. Mais c' est impossible, je n' ai pas pleurer depuis mes 3 ans, depuis mon abandon, ma mère est partit sans me regarder, depuis ce jour je ne pleure plus. Alex me lâche et s' essuie discrètement l' œil droit. Il me fait un petit signe de la main et sort, refermant la porte derrière lui.


On entre dans le véhicule sensé nous amener au train. Alors que notre hôtesse tente d' engager une conversation complètement inintéressante a laquelle ni Maria ni moi ne voulons participer, j' observe le district dans lequel j' ai grandit, le gravant dans ma mémoire et dans mon cœur au cas ou je ne reviendrai pas, au cas ou je mourrai... Nous passons dans la ruelle ou j' ai rencontré Alex pour la première fois et je souris presque à ce souvenir.

-C' est toi Joris Viano ? Celui qui donne des raclés aux gamins du coin ?
-Quoi, tu veux t' essayer vieillard ? Va falloir attendre ton tour.
-L' homme qui se tiens devant moi se met à rire, j' ai l' impression de l' avoir déjà vu quelque part. Il -est fort, et bien plus grand que moi, et il a la trentaine.
-C' est pas que je sois contre petit, mais tu ne gagnerai pas.
-On parie ?Il me fait un grand sourire, mais ses yeux semblent tristes.
-Si je gagne, tu devra faire tout ce que je demande.
-Pareil pour moi alors.
-Entendu.Il me tend la main, et avec suspicion je fais de même.
-Prêt ? Me demande t- il, et il semble soudainement à une tout autre personne.
Trente secondes plus tard le combat était fini et j' était à terre, sans force.
-T' as gagné vieillard. Qu' est ce que tu veux ? J' te préviens, j' suis pauvre.
-Je veux t' adopter.


Lucia se tait soudain et je la regarde avec interrogation. Le véhicule s' arrête devant le train, au même moment elle applaudit, excitée. Maria excédée lui lance un regard noir et passe avant elle, lui coupant le passage. Je lève les yeux au ciel et les suit, sans rien dire, comme à mon habitude. Avant de monter dans le train, je jette un regard sur le district. Je suis en route pour une nouvelle vie. Tuer ou être tuer, survivre ou mourir...

Merci beaucoup c'est super bien Maria ! Malgré les 2 ou 3 fautes !
J'attend avec impatience la suite !
  

  

Ok Max, je mettrai en ligne le prochain chapitre demain!
Héhéhéhé contente que ça te plaise!

Chapitre 2 :
Le train
PDV Joris:
Je me laisse tomber sur le lit avec un bruit sourd. La raison pour se trouver dans ce train est peut être merdique, mais ça n'empêche pas que je n'ai jamais été autant dans le luxe, et j'ai l'intention d' en profiter autant que je peux. Je me roule d' un coté et de l'autre et un sourire s'étire sur mes lèvres. Quelque soit ma position, je suis confortable. Les oreillers sont moelleux, le matelas est mou mais pas trop, les couvertures sont en plumes. Alex est riche mais ce n' était rien comparé à l'avant goût du luxe du Capitole... Je ne peux pas résister et m' endors d'un sommeil sans rêves...
Joris, mon chou, on mange! Dit une voix enjouée.
Je me frotte les yeux et baille longuement. Je m'assieds lentement sur le lit et regarde autour de moi, essayant de deviner combien de temps j' ai dormi.
Joris?
Ouais, deux secondes!
Peu importe. Je me lève et ouvre la porte, Lucia se trouve devant moi, un énorme sourire aux lèvres. Est- ce que tout le monde au Capitole est toujours aussi... Joyeux? Si c' est le cas, je sens que je vais déprimer dans le prochains jours. Je me force à sourire et la suit en silence.
Le repas va être délicieux, tu vas voir. Mais ce n' est rien comparé au Capitole, bien sur, les mets là- bas sont...
Je cesse d'écouter. Ce n'est pas comme si elle attend une réponse de ma part après tout. Nous arrivons bientôt dans une somptueuse pièce. Les deux mentors sont déjà là, en train de se parler tranquillement. Je prends place en face d' eux et ils s'arrêtent brusquement de parler, me regardant tout les deux fixement. Je hausse les sourcils.
Je prends la fille ! s'exclame Suzann soudainement, les femmes avec les femmes et les hommes avec les hommes !
C' est ridicule comme argument ! Déclare Brynn ! Mais je prends quand même le gars !
La fille survivra plus longtemps je te dis !
Non, tu débloque ! Elle va mourir dès le bain de sang, même si elle est entraînée, elle est trop chétive.
Ils se lancent un regard noir. Je les regardent avec des yeux ronds, seraient t-ils en train de parier à l' avance sur notre mort ? Heureusement que Maria n' est pas la !
Soudainement ils se serrent la main et je reste bouche bée. Mais sur quels mentors suis-je tombé ? L'hôtesse, assise à coté de moi leur lance un regard réprobateur.
Un peu de sérieux je vous prie, je vous rappelle que vous êtes sensés aider les tributs, pas agir comme si ils était des jouets !
Nos deux mentors la regarde avec surprise mais Brynn éclate de rire. Suzann le rejoint quelques secondes plus tard, ils se tiennent les cotes, essayant tant bien que mal de respirer.
Puis-je savoir ce qu' il y as de si drôle? Dis-je doucement.
Ils s'arrêtent soudain et prennent une mine sérieuse.
Nous sommes sensés pleurer alors ? Cette idiote du capitole nous demande d être sérieux, elle qui ne comprend absolument rien à la vérité des jeux.
Idi... Commence Lucia avec consternation.
Je la coupe, sans considération.
Et c' est quoi la vérité ?
Écoute moi mon gars, commence Brynn, je sais que tu as était entraîné par un ancien gagnant mais se n' est rien comparer aux carrières, si tu survit plus de quatre jours se serai un exploit, pareille pour la fille qui t' accompagne...
Vous pouvez pas savoir, on a peut être des chances !
C'est Maria, elle a tout entendu.
Chérie sa fait bien longtemps qu' on est mentor je crois, l' interrompt Suzann.
Et alors, on a nos chances, renchéris-je !
De grands applaudissements pour toi si tu dépasse les quatre jours. Ce qui m' étonnerai beaucoup de vous deux.
Alors c'est ça, vous allez vous amuser et rire de nous et de notre mort sans nous aider, sans rien faire ? S' écrit Maria aussitôt, excédée.
Voila t'as tout compris ma belle ! Dis alors Suzann.
Je sens la colère bouillir en moi, ils sont persuadés que nous sommes nul, je prends alors une grande inspiration et un sourire s' étale sur mon visage, ils me regardent, les sourcils haussée.
On va vous le prouver que vous auriez dut croire en nous, quand on sera dans le top cinq, vous ravalerez vos paroles ! Un sourire appréciateur s' étale sur le visage de Brynn qui donne un coup de coude à Suzann :
Tu vois, je t' avais dit que c' était un combattant.
Mais t'as jamais dit sa ! S' exclame t-elle aussitôt !
Je me lève, et leur fait une petite courbette:
Si vous voulez bien m'excuser.
Je n'attends pas leur réponse et sort de la pièce, les dents grinçantes. Je me rends compte qu'être mentor doit être difficile puisque très souvent , leurs pupilles meurent, mais est-ce vraiment une raison pour ne plus du tout les aider ? J'ouvre la porte de ma chambre et la referme brutalement, la faisant claquer avec bruit. Je vais leur montrer. Même sans leur aide, je peux gagner. J'ai des chances, je ne suis pas impuissant. Je ne suis pas voué à mourir comme un misérable dans une arène merdique, à la vue de ces horribles gens du Capitole qui en font des paris...
Quand je rentrerai dans mon district je serai puissant et plus personne ne me prendra de haut.

PDV Maria :
Quand je me réveille, le soleil est déjà haut dans le ciel, j'entends des petits coup frappés à ma porte, j'imagine que c'est ça qui m'a réveillée :
- Maria, réveille toi. Crie une voie bien connu : Lucia... Génial, je ne pouvais pas rêver mieux. Elle ouvre alors la porte de ma chambre et me voyant ainsi «endormie» elle éclate de rire, énervée, je lui balance un coussin à la gueule, j'espère qu'elle va se le manger en pleine face, cette idée me fais sourire.
- Enfin, petite mal apprise, on ne jette pas de coussins sur les gens, non mais voyons, quels manières !
- T'en veux un autre peu être ? Dis-je avec une voie qui se voulais endormie, quoi que cela ressemblait plus à un croassement de grenouille. Elle igniora royalement ma remarque et me dit:
- Nous arrivons au Capitole dans quelques heures alors si tu veux prendre une douche c' est maintenant...
- Ça va, j'y vais...

Dites moi se que vous en pensez, (même si vous pensez que c'est nul...). Désolé Max pour les fautes si y en à beaucoup....   

C'était vraiment génial !!!!
J'attends la suite ....

Tu devra attendre la semaine prochaine Mathilda, et de toute façon se ne sera qu'un petit "bonus" pour présenter les autres tributs...

OK ben j'attendrais même si c'est long c'est pas grave...

OKI!!!  
  

Bon bah j'attend moi aussi la suite, je me régale à lire cette FanFiction qui est bien écrite boudiou !

Allez ! AKEOREVOIRE !

  

Elle trop bien l'histoire   MAIS MARIA ARRËTE DE ME SPOILER MERCI  

Hey cla, je spoiler pas, tu me demande....          

C'est pas vrais 

si tu me demande toute mon histoire!!!!      

bon, tu veux que je publie un autre chapitre???

OUI mais tu me spoile pas  

okay.... t'inquiete pas....  

C'est quand que tu vas mettre le bonus ???   

Elle le posste  

Voila!!! Un nouveau chapitre pour mes petits lecteurs, un petit commentaire sa fait toujours plaisir!!!  Bon je vous embêtes pas plus longtemps, je vous laisse lire...

Mon chapitre est en fait un petit bonus comme la gentiment spolie Mathilda, pas grave.. faut toujours lire...

District 1:
Garçon: Maxence: Musclé, cheveux blonds foncés, yeux vert, il est musclé, plutôt grand, comme tout les carrières il s'entraîne depuis son tout jeune âge et se porte volontaire à la place d'un enfant de 14 ans. Max a 18 ans.
Fille: Julie: Très grande, pas loin des 2 mètres, elle a les cheveux châtains. Elle est très musclée, s'entraîne depuis ses 6 ans à tuer. Au centre d'entraînement de son district elle rit quand elle fait saigner ou quand elle casse des os. En arrivant sur l'estrade elle affiche un sourire sadique. Julie est du genre impatiente et à agir sans réfléchir. Elle se porte volontaire avant même que quelqu'un ai été pioché. 18 ans.
District 2:
Garçon: Alexandre: Grand, rusé, d'apparence banale, il a des yeux gris et sais se battre seulement avec des javelots. Il ne se porte pas volontaire, il a 15 ans.
Fille: Anaïs: Petite et fine, elle est moins intelligente que son partenaire, discrète, elle est très bavarde et sais à peu près se battre. Elle a 17 ans
District 3:
Garçon: Tommy: Il est fort mais ne se bat pas trop, il ne sait pas se débrouiller en survie, il viens d'une famille de riche. Cheveux bouclés et yeux marrons. Il ne se porte pas volontaire 14 ans.
Fille: Manon: Elle est jolie: des cheveux lisses châtains et des yeux couleur noisette. Elle est assez petite et compte sur son charme et son corps pour séduire les sponsors, mais cela suffira t-il? Elle sait à peu près survivre, et manie seulement la lance...
District 4:
Maxi et Clarisse: Les dieux de la mer... Tout les deux se ressemblent psychologiquement. Ils sont très rusés et manient le harpon et le trident à la perfection, cela fait d'eux des adversaires redoutables. Une alliance en vue? Leur physique ne fait qu'arranger les choses, fort et séduisant, si les stylistes ne sont pas trop nuls cette année, il seront sans aucun doute les tributs les plus aimés. Pariez vous sur eux? 18 ans tout les deux...
District 5:
Garçon: Tristan : Grand, intelligent, il ferait tout pour survivre, vraiment tout... D'apparence banale, Tristan est très manipulateur.
Fille: Mathilda: Mathilda ne sait pas se battre, elle pose des pièges pour les animaux. De long cheveux brun et bouclés, elle est jolie mais sans plus.
District 6:
Gabin et Lara: Tout les deux sont très sur deux, trop peut être, ils sont frères et sœur, Gabin serait près à tout pour revenir... Jusque ou ira t-il?
District 7:
Garçon: Anthony: Comme on dit: petit mais puissant, Anthony ne sait pas se battre avec des armes mais en revanche il est champion de son district en corps à corps. Il court vite et longtemps, jusqu'à deux heures sans s'arrêter. Cela pourrait se retourner à son avantage non?
Fille: Solène: Grande, elle ne peut pas se servir de son apparence pour séduire. Elle n'est pas une survivante, à t-elle ses chances en se préparant en arrivant au Capitole?
District 8:
Thierry et Émeline: Tout les deux sont fort (en poids cette fois), Thierry est asthmatique et ne peux pas courir longtemps. Tout les deux ne savent pas se battre ni se camoufler. Combien de temps vont ils tenir?
District 9:
Clara et Victor: Ces deux personnages sortent ensemble, mais Victor est près à tout pour gagner, jusque ou irait il?
District 10:
Jean Baptiste et Mélanie ne sont pas exceptionnels, banals... Ils ne savent pas se battre, ne connaissent pas les plantes, des gros nuls...
District 11:
Thomas et Marine non plus, ils savent utiliser les plantes pour survivre mais ne peuvent pas se défendre...

Si vous voulez plus de renseignements, envoyez moi un message   ( physique, age, caractère, vie familiale, etc...), je veux tout vos avis, si vous trouvez ma fic bien, pas bien, nulle, complètement à coté de la plaque etc...
Maria.

P.S: Je compte faire un système de "sponsoring" et pour sa j'ai besoin de vous... Je vous explique: à partir de l'interview, à la fin de mes chapitres je mettrai des question sur ma fic. Vous pouvez m'envoyer vos réponses... Chaque bonne réponse vaudra 5 point... Vous me dites ensuite ce que vous voulez envoyer aux tributs et si vous avez assez de points je met les munitions dans l'arène. Bonne journée/Bon soir! ET QUE LE SORT VOUS SOIT FAVORABLE!

Euh... Envoyez un peu moins de messages inutiles, et Maria, c'est quoi tous ces smileys ?
  

C'est..... des oignons!!!!!  

Joli petit Bonus ! Merci à toi Maria et surtout bravo ! Tu est pour l'instant le sujet qui fait le plus de vue ! Je te remercie de ta fidélité !

Et au juste ? C'est quoi tous ces messages de 1 ligne ?   

Merci beaucoup Max pour ce jolie petit commentaire qui ma fait très plaisir, désolée por les messages d'une ligne, j'avais pas vue le chat... 

Aucun problème, je vais bientôt sortir le règlement du site ( pas trop stricte mais un peu quand même) qui permettra aussi de savoir deux trois informations importantes ! Voilou !
 

Bonjour/Bonsoir, aujourd'hui je me suis décidée à poster  mon chapitre suivant, je vous laisse lire...
Chapitre 3 :



Le Capitole

PDV Maria:

   Scrrrrrrrratch ! Je serre les dents pendant que Ilona, une femme aux cheveux verts avec des tatouages argentés sur le coté et au dessus des sourcils, arrache une bande de cire sur ma jambe.
- Désolée! Minaude t-elle avec ce ridicule accent du Capitole.
Pourquoi ces gens ont-ils tous une voix aussi aiguë ? Pourquoi ouvrent-ils à peine la bouche quand ils parlent ? Pourquoi haussent-ils le ton à la fin de chaque phrase comme si ils posaient une question ? Drôles de voyelles, mots écorchés et toujours cet accent sur la lettre « s ».... Pas étonnant qu'on ne puisse pas s’empêcher de les parodier.
Ilona affiche un air qui se voudrai compatissante.
- La bonne nouvelle c'est qu'il n'en reste plus qu'une, prête?
Je me cramponne au bord de la table et j’acquiesce. J'ai du mal à réprimer un tressaillement de douleur.
    Je me trouve au centre de transformation depuis plus de trois heures et je n'ai pas encore rencontré mon styliste. On ma frotté avec une mousse exfoliante qui m'a débarrassée de trois bonne épaisseurs de peau, on ma taillé les ongles à la perfection. Je déteste ça. Ma peau rougie me picote de partout, me donne une sensation de vulnérabilité.
- Tu te débrouille très bien, me compliment Camilo (il fait bouffer ses cheveux rouges et noirs et se repasse du rouge à lèvre violet.) S'il y a bien une chose que je ne peux pas supporter, ce son les pleurnichards.  Appliquez lui la crème !
Ilona et Flavie, une femme grassouillette teinte de la tête aux pieds en couleur « léopard », m'enduise d'une lotion qui commence par me piquer avant d’apaiser ma peau à vif.
On me laisse seule dans la pièce, je remarque alors quelle est peinte de blanc du sol au plafond, j'ai soudainement froid, loin de ma famille, je me surprend alors à regretter la présence de ma mère, elle qui ne me trouvait jamais assez parfaite... C'est alors que mon styliste entre dans le pièce.
    Je me retrouve face à une femme d'une vingtaine d'années, je la trouve assez naturelle par apport aux gens du Capitole, j'apprends qu'elle s'appelle India. Ma styliste porte une robe en soie rose claire, elle maquillée d'une main légère et la seule excentricité que je remarque serait des chaussures à talon haut doré...
- Bonjour, comme tu as pu t'en doutée je suis ta styliste, je me nomme India.
Vous êtes nouvelle, d'habitude les nouveaux vont dans les districts les plus nuls.
Oui je suis nouvelle mais Arthur le styliste de ton partenaire et moi allons vous faire resplendir ce soir, prête à découvrir ta tenue de défilé?
- Pas vraiment, en fait j'ai pas vraiment envie de me retrouvée nue devant tout le Capitole et les districts si vous voyez ce que je veux dire...
Je vois ce que tu veux dire et tu ne sera pas nue je te le jure.
Ben dans ce cas je suis prête.
Elle me prends la main d'une façon maternelle et m’entraîne devant une armoire située dans le coin de la salle...


PDV Joris

    Je viens de vivre la pire torture de ma vie, je suis sans doute passé dans les bains les plus écœurant du Capitole, les assistants me répètent qu'il faut souffrir pour être beau. Je n'ai jamais demander à être beau moi, je n'ai pas demander non plus à participer aux jeux... Triste vie.
    Mon styliste arrive enfin, il est simple, on ne le croirait pas débarqué du Capitole, il est noir de peau, il se nomme Bastien. Bastien est habillé simplement : un pantalon bleu marine et une chemise de la même couleur.
- Sa va, tu n'a pas trop souffert ? Me demande t-il, l'air visiblement peiné de la véritable torture que j'ai dut enduré.
- Ouais.... On va dire sa comme sa, répondis-je, n'ayant pas très envie de faire la conversation avec quelqu'un du Capitole, quelqu'un qui va parier sur mon temps de vie ou de mort dans l’arène. Horrible...
- Je vais te montrer ta tenue de défilé. Toi et Maria, ta partenaire je crois, vous allez enflammer la foule, et au sens propre... Je prends soudain peur, nos stylistes seraient près à nous transformer en torche vivante ? Seulement pour que les gens nous remarque ? Non ils ne peuvent pas faire sa, on va nous jeter dans l'arène dans n'importe quel état nous allons être...

PDV Maria


    Ma tenue est splendide, moi et Joris serons sans aucun doute les tribut les plus éblouissants de la soirée... Je porte une robe mi longue, évasée à la taille, le bas du jupon semble taillé dans les flemmes, il brûle, ma robe brûle sans se consumer mais le feu n'est pas chaud... Joris porte une chemise et un pantalon noir, mais ce costume est en feu lui aussi, quand nous arrivons dans la salle ou serons lancés les chars, tout le monde se tourne vers nous, j’aperçois des regards haineux, mais aussi des regards admiratifs.
- Il faut attirer l'attention des spectateurs, me demande Joris.
- Tu crois qu'on attire pas les regards, tu vois, tout les tributs nous fixe, pas très fin pour passer inaperçus.
- Ça c'est pas grave Maria, on à qu'a ne pas leur montrer nos aptitudes au combat, mais la il faut attirer l'attention des Sponsors.
- Tu propose de faire quoi ?
- On a qu'à montrer qu'on est unis et qu'ils ne nous séparerons pas si facilement, je ne veux pas être un simple pion dans leurs jeux, tu sais...
- Quoi ?
- Seul le Capitole y gagne finalement, les gagnants sont au service de Snow après leurs jeux, s'ils n’obéissent pas, leur famille en tuée, ainsi que leurs amis.
- Ah, je ne savais pas... Tu le sais parce que ton père est un ancien vainqueur ?
- Oui, bon on fait quoi du coup pour se démarquer ?
- On fait se que tu as dit...
Nous nous taisons et je prends le temps d'admirer les costumes des autres, la fille du 1, qui a toujours son air sadique collé au visage est habillé en combinaison en or, du plaqué j'imagine, son partenaire est habillé de la même façon, ils ont l 'air de bien s'entendre les deux la... Je dirai à Joris qu'il faudra les surveiller.
Le garçon du 2 est habillé en gladiateur, sa compagne doit être déguisée en déesse grec, elle le tiens attaché par des chaînes.
La fille du 4 est habillé en sirène, sa robe est faite d'écailles qui miroitent à la lumière, sa tenue est simple mais rends très bien... Le garçon du 4 est habillé en dieux de la mer, Poséidon, un simple voile blanc couvre son corps, retenu par les attaches en or. Lui et sa compagne portent un trident chacun.
Les autres tributs ne sont pas exceptionnels mis à part ceux du cinq qui sont affabulés de combinaisons d’où sort de la lumière, on les croiraient éclairés de l’intérieur.
Je sens une pression sur mon épaule, je me retourne et découvre nos deux stylistes, ils nous disent :
- Sa va bientôt être à vous, ne vous inquiétez pas, votre char va se mettre à brûler ainsi que la crinière des chevaux et leur sabots, c'est normale, à part ça vous pensez à saluer la foule, ils vont vous adorer ! Nous n'avons pas le temps de leurs répondre car notre char va se mettre en route, quand nous montons dessus il se met à brûler de lui même, comme nous l'avez dit nos stylistes...  

PDV Joris

Notre char se met en route, je prends la main de Maria et nous levons nos deux bras, pour montrer notre unité. Il commence à faire sombre et on nous remarque d'autant plus dans la pénombre, toute la foule c'est mis à scander nos noms, quand nous arrivons à la place centrale, le président fait son discours, les caméras devraient être braquées sur lui mais je sais déjà que Maria et moi avons eu bien plus que notre part à l'antenne...
    Le repas se passe joyeusement, nous avons enlevé nos costume de feu après avoir reçu les compliments de toute notre équipe. Le repas est délicieux mais il se termine trop vite à mon goût, nous devons nous rendre dans le salon pour regarder la rediffusion de la parade...
Au début du défilé seuls les tributs du 1, du 2, du 4 et du 5 on leur parts de cris et applaudissements, mais quand nous entrons en vue des caméras, nos noms sont scandés de partout, la foule est en délire, nous sommes éblouissants, je me retourne vers Maria et lui dit :
- Tu trouve pas qu'on devrait porter des flammes plus souvent ? Moi je trouve que sa nous va bien pas toi ?
- Ho si, dit t-elle en rigolant, nous sommes superbes avec des flammes, les pauvres tributs qui n'ont pas d'aussi bon stylistes que les notre, tu as vu ceux du 11, ils étaient nus sous des feuilles et ils portaient une corbeille de raisins sur la tête, je crois même qu'ils avaient commencés à les manger.
- Les feuilles?
Ben non les raisins, nous recommençons à rire.
- Chut, nous dit notre hôtesse, visiblement son rôle ne s’arrête pas à la moisson, elle nous à suivi jusque au centre de transformation.
- Nous sommes peut être aux Hunger Games mais rire n'est pas un crime, lui répond aussi tôt Maria, s’arrêtant tout net de rire.
- Et puis si nous devons mourir dans une semaine, autant en profiter, et de la bouffe aussi d’ailleurs, dis-je du tac au tac, me précipitant par la même occasion vers la table qui est toujours dressée. Lucia, s'en va, se donnant un air exaspéré... Dès qu'elle a le dos tourné Maria et moi recommençons à rire, mais d'un rire stressé, le Capitole gâche tout, même sa... Nos mentors nous conseille d'aller nous coucher.
Demain vous avez une grande, grande journée, dit Suzann, contrefaisant les Capitoliens, nous remercions nos stylistes pour nos costumes et prenons l'ascenseur... Demain commence les entraînements.


Voila, surtout dites moi si sa vous plait (ou pas) parce que c'est important pour la suite... dans deux chapitres environ vous pourrez commencer le système de sponsoring dont je vous avez parlé lors de mon chapitre précédent. A plus tard, pour un nouveau chapitre...